Файл: Трудности перевода с французского языка (на материале математической лексики)..pdf

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266. En effet, d’après le théorème 1, l’intégrale (1) demeure fonction continue de y, sauf pour les valeurs exceptionnelles qui

correspondent à une

ligne

de discontinuité

parallèle à l’axe

des

x.

L’intégrale

double

jouit d’une

propriété fondamentale

qui

267.

va

nous permettre d’en

transformer

la

définition.

268.D’après le raisonnement fait plus haut à propos de la corde MM' ds est aussi la partie principale de la corde M'm.

269.Cette dernière formule peut s’obtenir directement de la manière suivante.

270.Dès lors, pour représenter une intégrale double dans un

rectangle

R,

il

est naturel

d’adopter

des

notations

qui

rappellent

à la fois

sa

définition comme limite

de

sommes et

sa

réduction

à des intégrales simples consécutives.

 

 

 

qui ramène

271. Green

a fait usage

d’une formule importante

une intégrale double à une

intégrale

curviligne et

à

laquelle on

a donné son nom. Nous allons la faire connaître.

à

un système

272. Les

considérations

précédentes

s’étendent

de trois variables x, y, z. On est ainsi conduit à la notion des intégrales triples. Nous nous contenterons d’énoncer les résultats suivants, les démonstrations se faisant comme pour les intégrales doubles.

273. Un solide étant limité en tous sens

par

des

surfaces

planes ou courbes, les points de ce solide forment

un domaine D.

274. Les données étant les mêmes que

dans

l’exemple du

n° 26, il s’agit de trouver l’aire de la portion

de surface

sphérique

comprise dans le cylindre.

 

 

 

275.Pour fixer les idées, admettons que l’intégrale de surface de la formule (10) s’étende au côté supérieur de 5 qui est une portion de surface limitée par une ligne.

276.Nous commencerons par exposer un théorème qui est souvent utile dans les recherches relatives aux intégrales doubles.

277.Soit f(x) une fonction bornée et intégrable au sens élé­

mentaire, c’est-à-dire n’ayant que des points

de

discontinuité

isolés dans l’intervalle (a, x') quelque grand

que

soit x'.

278.Supposons maintenant, pour fixer les idées, que f(x) ne soit infinie que quand x tend vers b.

279.Ceci posé, nous pouvons admettre dans la démonstration que b soit la seule valeur singulière.

280.Les intégrales généralisées élémentaires sont donc celles de fonctions ne présentant que des points de discontinuité isolés.

281.Supposons qu’on sache seulement qu’une des deux inté­

grales du second membre est déterminée.

Si

l’on

s’interdit de

faire passer les termes d’un membre

dans

l’autre,

on

pourra

encore écrire la formule précédente,

mais

elle

signifiera

seule­

ment que

les deux membres sont égaux ou tous deux indétermi­

nés mais

avec les mêmes limites d’indétermination s’il y en a.

282. La

fonction à intégrer et sa dérivée partielle par rapport


à a sont des fonctions continues de t et de a dans le rectangle du plan ta compris entre les valeurs 0 et 1.

283. 11 n’y a qu’à reproduire la démonstration du théorème de M. Darboux, en substituant une subdivision quelconque à celle en éléments rectangulaires.

284.Si l’on envisageait des ensembles à trois ou à un plus grand nombre de dimensions, il faudrait, dans ce qui précède, remplacer les carrés par des cubes et ainsi de suite.

285.Néanmoins, les recherches de Stieltjes sont fort impor­ tantes, au point de vue des idées que l’on peut chercher à se

former sur les séries divergentes en général; mais il y aurait lieu de ne pas se contenter de la généralisation que nous venons d’en donner et de chercher à les étendre dans d’autres directions. Pour y arriver, la méthode la plus sûre consisterait peut-être à chercher à démontrer les propositions mêmes de Stieltjes par des méthodes plus générales. On aura ainsi des démonstrations pro­ bablement plus longues que les siennes, qui sont fort ingénieu­ ses et qui paraissent aussi simples que possible pour le cas parti­ culier traité, mais ces démonstrations plus longues auraient sans

doute l’avantage

de s’étendre

sans

effort

à des cas

plus géné­

raux.

questions où

il y

a lieu

4

un change­

286. Dans les

d’éxécuter

ment de variables, il peut arriver que les anciennes variables ne soient pas données immédiatement en fonction des nouvelles, mais qu’elles soient liées à celles-ci par des équations différen­ tielles données. Dans les cas dont nous parlons, il arrive quel­ quefois que les équations différentielles données suffisent avec celles qu’on en déduit, par la différentiation, pour éliminer les anciennes variables de l’expression qu’il s’agit de transformer. Nous allons en donner un exemple.

287. Lorsqu’on a à considérer plusieurs variables qui dépen­ dent de l’une d’entre elles, on peut choisir à volonté celle qui sera regardée comme indépendante ou dont la différentielle sera constante. Mais il peut arriver que, après avoir désigné cette variable indépendante, on reconnaisse qu’il est plus avantageux

d’en choisir une autre; il faut alors

modifier

les formules. Telle

est la question qui va nous occuper,

et que

nous énoncerons

comme il suit.

 

 

288.Il est évident que y n s’exprimera par le moyen des diffé­ rentielles de x et de y, jusqu’à celles de l’ordre n.

289.Les fonctions f, F, ..., étant, comme dans les cas précé­ dents, des fonctions composées dont la valeur est identiquement

nulle, les différentielles de ces

fonctions

sont

nulles

aussi,

et

l’on a ...

fonctions

de

z, f(x,

y, z)

et

290. Puisque y et x sont des

F(x, y, z) sont des fonctions composées; d’ailleurs les différen­ tielles de ces fonctions sont nulles, puisque les fonctions ellesmêmes le sont.


lère

p a r t i e

. .................................................................................

 

 

.................................................................................

 

Conditionnel

 

 

 

Subjonctif dans

les

propositions c irc o n s ta n c ie lle s ...................................

 

 

Infinitif

(Propositions infinitives correspondant aux propositions complé­

 

tives)

.......................................................................................................

 

 

 

 

 

 

Infinitif

(Propositions infinitives correspondant aux propositions circon­

 

stancielles) .............................................................................................

 

de

différents

v e r b e s

 

 

Infinitif — complément .............................................

 

 

Infinitif — épithète ...........................................................................................

 

 

 

 

 

 

Infinitif — s u j ................................................................................................e t

 

 

 

 

 

 

Participe

p a s ................................... ........ ....................................................s é

 

 

 

 

 

 

Participe

p r é s ..............................................................................................e n t

(construction

a b s o l u e )

 

 

Propositions participes ............................................

.

.

Pronom

im p e r .................................................... ........s o n n e l

 

.

Pronom

relatif ( .....................................................................................« d o n t» )

« d o n t » )

 

 

Pronoms

relatifs ...............................................................

(outre

 

 

Pronoms

d é m .................................................................................o n s tr a tif s

 

 

 

Pronom

«le» n ........................................................................................e u t r e

 

 

 

 

 

Pronom adverbial ..................................................................................« e n »

 

 

 

Pronom adverbial .....................................................................................« y »

 

 

 

 

Tout

( a d j e c t .................................................................................................i f )

 

 

 

 

 

 

Même (adjectif, ...............................................................................

a d v e r b e )

 

 

 

Mise

en

r e l i ..................................................................................................e f

 

 

 

 

 

 

jjème

p a r t i e ..................................................................................................

 

 

 

 

 

 

 

Трудности перевода с французского языка (на материале математической лексики)

Составитель Р . А . П а ш и н и н а

3

4

6

7

10

12

13

16

17

18

19

20

21

22

23

24

 

 

Редактор С.

Е . Х а за н о в а

 

 

 

 

Техн.

редактор Г . С. О р л о в а

 

Корректор М . В .

У н к о в с к а я

 

Сдано в набор 24 V 1974 г.

 

Подписано

к печати

1

VIII

1974 г.

 

Формат бумаги 60X907te.

Бум. тип. №

3.

Печ. л. 3.

Уч._изд. л.

3,19.

Бум. л.

1,5.

 

Тираж

8 000 экз.

Заказ 218. Цена 13 коп.

 

 

 

 

Издательство ЛГУ им. А. А. Жданова.

199164. Ленинград. Университетская наб., 7/9.

Типография

ЛГУ им. А.

А. Жданова.

199164. Ленинград, Университетская наб..

7/9.