Файл: Трудности перевода с французского языка (на материале математической лексики)..pdf
ВУЗ: Не указан
Категория: Не указан
Дисциплина: Не указана
Добавлен: 01.11.2024
Просмотров: 25
Скачиваний: 0
ques de commencer par des notions plus intuitives et concrètes. 157. Plusieurs pages de ce livre sont pénétrées des sugge stions et des méthodes que je dois aux excellentes leçons univer
sitaires de mon maître, Sierpinski (St. Saks). |
|
|
|
|
|
|||
158. |
Par l’espace euclidien à n dimensions R nous entendrons |
|||||||
ici l’ensemble de tous les systèmes |
de |
n nombres |
réels |
(x, |
||||
х {, .... |
xn). Chacun de tels systèmes |
sera |
regardé |
comme |
un |
|||
point de l’espace en question et les |
nombres |
Xu où |
i = |
1, 2, . |
||||
n, seront dits les coordonnées du point considéré. |
occuper dans |
|||||||
159. |
Or, les ensembles dont nous allons |
nous |
||||||
la suite |
seront surtout ceux de points |
situés |
dans |
|
un |
espace |
euclidien.
160.Le but à atteindre, c’est de trouver une représentation réunissant les avantages de la série de Taylor et des séries de Runge ou de Painlevé.
161.En second lieu viennent les fractions rationnelles qui
s’obtiennent en formant le quotient de deux polygones.
162. |
Ceci dit, partons d’un intervalle fondamental |
(a, b). |
163. |
Au parfait symétrique E que nous venons de |
définir on |
associe la fonction de Lebesgue, construite de la manière sui vante.
164.Autrement dit, si E est développable en «portions éga les», cela n’est possible que d’une façon.
165.Nous fournirons des réponses à ces questions grâce aux notions de mesure et de dimension de Hausdorff.
166.Cette définition d’une mesure dépendant d’une fonction déterminante h(t) est due à Hausdorff. Indiquons-en quelques
propriétés.
167. Compte tenu du théorème (3), dont on n’utilise ici que la partie facile, la question laissée en suspens à la fin du § pré
cédent se trouve donc ainsi résolue. |
la |
168. Comme la mesure de Hausdorff< est positive suivant |
|
fonction déterminante w(t), il en est de même suivant h(t), |
et |
le théorème est démontré. |
|
169.Il restera à voir s’il est vrai qu’aucune mesure ou distri bution non nulle portée par E n’est une pseudofonction.
170.Nous commençons par un historique du problème qui va nous occuper dans ce chapitre, à savoir la classification des en sembles parfaits en «ensembles d’unicité» et «ensembles de mul
tiplicité». D’après Cantor et Young, tout |
ensemble |
dénombrable |
|
est ensemble d’unicité. D’autre part, nous |
verrons |
facilement que |
|
tout ensemble de mesure positive est un ensemble |
de |
multiplicité. |
171.Je me suis demandé s’il convenait de remanier cette nou velle édition; mais je me suis rapidement aperçu que je serais conduit à reprendre des matières traitées dans d’autres Ouvrages.
172.Ce n’est pas que je méconnaisse le très haut intérêt que
présente par elle-même la Théorie des ensembles; mais |
il m’a |
paru qu’il y avait lieu de distinguer nettement cet intérêt |
philo |
sophique |
de l’utilité pratique de la théorie, c’est-à-dire de son |
lien avec |
d’autres parties des Mathématiques. Aussi ai-je laissé |
de côté bien des résultats intéressants obtenus par divers géo mètres au sujet des ensembles, parce que je n’aurais pas pu en donner d’applications ici même.
173. Je n’ai d’ailleurs pas cherché à remplacer la lecture des Mémoires originaux, mais seulement à la faciliter; aussi ai-je laissé des lacunes qu’il aurait été aisé de combler en transcrivant presque textuellement un certain nombre de pages de tel ou tel Mémoire.
174. Nous ne chercherons pas à donner une définition du mot «ensemble»; il nous paraît qu’il y a là une notion suffisamment primitive pour qu’une définition en soit au moins utile.
175. Si nous cherchons à analyser le procédé par lequel nous nous sommes donné cet ensemble des U„, voici ce que nous con
statons: |
nous sommes |
partis |
d’un ensemble que |
nous |
avons |
|||
considéré comme donné. |
sont |
dits |
ensembles |
dénombrables; |
voici |
|||
176. |
Ces ensembles |
|||||||
ce que signifie cette expression. ' |
un |
nombre |
limité |
d’ensembles |
||||
177. |
Considérons maintenant |
|||||||
dénombrables, trois pour fixer les idées: |
|
|
|
|||||
|
|
«i, |
u2, |
u3......... |
|
|
|
|
|
|
v u |
v 2, |
V 3, |
|
|
|
|
’ |
|
w u |
w 2, w-................ |
|
|
|
||
178. |
Si la série à termes |
positifs |
pt + p2 + . ■. + pn + ■■■ est |
convergente, il en est de même du produit infini A0; celui-ci est alors convergent.
179. Chacune des probabilités Aœ étant nulle, on peut induire qu’il en est de même de la somme S, et que par suite Aoo est égal à l’unité.
f80. Passons maintenant à la seconde catégorie de problèmes, où les cas possibles sont en infinité dénombrable.
181. Ce qui fait la difficulté et en même temps l’intérêt des problèmes de la seconde catégorie, c’est que les probabilités pn sont rarement connues avec précision.
182. Remarquons enfin, que lorsque nous parlons des points à coordonnées rationnelles, nous devons toujours supposer que nous avons choisi une unité de longueur, laquelle est d’ailleurs
arbitraire. |
On en conclut immédiatement |
que |
l’ensemble |
des |
||
points dont les coordonnées sont de la forme |
|
|
|
|
||
m, n, p, q, |
r, s étant des entiers |
arbitraires et |
a, p, |
y, des |
lon |
|
gueurs quelconques déterminées, |
forme un |
ensemble |
dénombrab |
le. Plus généralement, il en est de même des points dont les coordonnées peuvent se mettre sous la forme
m |
. |
m' |
, |
X — — 0. |
--- |
— a |
|
n |
1 |
n |
|
les longueurs déterminées a, .... ah. .. pouvant être en nombre quelconque, mais fini, et les entiers m, n, p, q... pouvant prendre toutes les valeurs possibles ou étant soumis à des restrictions de nature quelconque, à condition qu’il y ait une infinité de points dans l’ensemble.
183.On voit par là combien est grande la variété possible des hypothèses sur les pn\ dans les applications, on sera naturelle ment conduit à considérer tout d’abord les plus simples, corres pondant aux caractères de convergence usuels des séries ,à ter mes positifs.
184.Le nombre S(x) étant maintenant défini d’une manière
précise, on démontre l’existence de la fonction primitive de f(x)
sans difficulté. |
vers |
une |
valeur déterminée |
quand il |
tend |
||
185. Si f(x) tend |
|||||||
vers c, cette valeur limite |
est |
f(c)\ s’il n’en |
est |
pas |
ainsi, |
f(c) |
|
est l’une quelconque |
des valeurs comprises |
entre |
la |
plus |
petite |
||
et la plus grandes des |
limites de f(x). |
|
|
|
|
186.L’ensemble E[a-^f(x)] étant fermé à un ensemble de mesure nulle près, est mesurable.
187.Considérons maintenant une famille de courbes gauches
représentées par |
deux |
équations |
qui renferment |
un para |
||
mètre arbitraire a. |
Cherchons si |
ces courbes |
gauches ont |
une |
||
enveloppe, c’est-à-dire s’il |
existe une courbe Г |
à |
laquelle |
les |
courbes C restent tangentes. S’il en est ainsi, on aura sur cha que courbe C un point de contact et les coordonnées de ce point seront des fonctions de a.
188.Un cas particulièrement intéressant est celui où la sur face / se réduit à un plan.
189.D’après ce qui précède, une surface développable est le
lieu des tangentes à une certaine courbe gauche.
190. Il est clair que la calcul précédent suppose que q est une
fonction de x et y, qui ne se réduit pas à une |
constante; |
s’il en |
était ainsi, on raisonnerait sur p au lieu de |
raisonner |
sur q. |
Dans le cas où p et q seraient des constantes, la surface serait
évidemment plane. |
distance ô, est donc |
||
191. Le numérateur, dans la plus courte |
|||
du quatrième |
ordre au moins; comme le dénominateur |
est du |
|
premier, il en |
résulte que ô est au moins |
du troisième |
ordre. |
Cette intéressante remarque est due à M. Bouquet.
192. La courbe dont nous .avons considéré les tangentes est une courbe plane.
,193. Nous entendons par plus courte distance de deux courbes infiniment voisines la plus courte distance de deux points très
voisins |
des points de contact |
sur |
l’une et |
l’autre |
courbe. |
194. |
Nous venons d’étudier |
les |
surfaces |
réglées |
dont les géné |
ratrices ont une enveloppe. Prenons maintenant d’une manière générale une droite mobile dont les coefficients dépendent d’un paramètre arbitraire a
195.Cette loi de variation du plan tangent est due à Chasles.
196.En Analyse, on peut de même considérer la variable complexe z = x + yi, où x et y désignent deux variables indé
pendantes, au sens ordinaire du mot, et introduire des fonctions ■de cette variable. Cela revient à introduire simultanément deux catégories de fonctions de x et de y.
197. Soient deux axes rectangulaires Ox et Oy. Considérons le point M qui a pour coordonnées a et b relativement à ces axes. Ce point est dit le point représentatif du nombre complexe c, lequel est appelé l’affixe de AL La logueur OM est évidemment égale au module p de c. L’angle со de Ox avec OM est appelé l’argument de c. 11 est défini à 2кл près, k désignant un nombre entier positif, négatif ou nul; de sorte que, pour que deux nomb res complexes soient égaux, il faut et il suffit qu’ils aient même
module et leurs arguments différant, de 2kn. |
On a |
manifestement |
û = pcosw, 6 = psino>; on déduit de là la |
forme |
trigonométri- |
que du nombre c, à savoir: |
|
|
c — p (cos со — i sin io). |
|
|
198. Le module d’une somme est moins ou égal à la somme des modules de ses termes. Cela revient, en effet, à dire que le segment de droite OM est au plus égal à la longueur du contour
OMu P2, Pn.
199.D’après ce qui précède, on a le théorème suivant.
200.Comme e peut être diminué à volonté, il en est de même
de 2e et le théorème est démontré. On l’étendra, soit directe ment, soit par récurrence, à une somme comprenant un nombre
quelconque fini de termes. |
fonction d’une |
variable |
réelle x, |
||
201. En |
particulier, |
f sera |
|||
si E est un |
ensemble |
linéaire. |
La fonction f |
est dite |
elle-même |
réelle, si E est un ensemble linéaire.
202. De même que pour les suites, on démontre le théorème
suivant dû à Cauchy. |
à |
droite |
ou |
à |
gauche |
203. On définit de même une tangente |
|||||
de M Suivant que f(x) admet une dérivée |
à |
droite |
ou |
à |
gauche |
de x. |
De la définition de la dérivée résulte immédiatement le |
|||
204. |
||||
théorème suivant connu sous le nom de théorème |
de |
Rolle, |
et |
|
qui a une certaine importance par les conséquences |
que nous en |
|||
tirerons |
dans la suite. |
|
AB il y |
a |
205. |
Géométriquement, cela veut dire que sur l’arc |
|||
au moins un point Af où la tangente est parallèle |
à |
Ox ou, |
ce |
|
qui revient au même, à la corde AB. |
|
|
|