Файл: Трудности перевода с французского языка (на материале математической лексики)..pdf

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départ d’une méthode générale d’intégration des équations du mouvement. Avant d’exposer cette méthode, rappelons que toute équation aux dérivées partielles du premier ordre possède une solution dépendant d’une fonction arbitraire; cette solution est appelée intégrale générale de l’équation.

7. Mais avant d’aborder ces difficiles questions et aussi celle de savoir si l’on peut se donner des ensembles par un procédé différent de celui que nous avons indiqué, il ne sera pas inutile d’étudier les ensembles qui ont même puissance que l’ensemble

Edes nombres entiers positifs.

8.Avant de donner la démonstration de ce lemme, montrons qu’il entraîne le précédent.

9.Pour déterminer la position d’un système de N points ma­

tériels dans l’espace, il faut se donner N rayons vecteurs, c’est- à-dire 3N coordonnées.

10. Le problème très important du mouvement d’un système composé de deux particules réagissant l’une sur l’autre («pro­ blème des deux corps») admet une solution générale complète. Pour résoudre ce problème nous allons tout d’abord montrer qu’on peut le simplifier considérablement, en décomposant le mouve­

ment du système en deux mouvements : celui

du

centre d’inertie

et celui des points par rapport à ce dernier.

 

 

11.

Si l’on remplit un sac avec du blé, on sait que plus on met

de blé

dans le sac, plus l’effort

à faire pour

le

soulever sera

grand.

D’une façon générale, la preuve d’une opération est une

12.

seconde opération que l’on fait

pour s’assurer

de

l’exactitude de

la première.

 

 

 

13.Afin d’ajouter une somme, on peut ajouter successivement chacun de ses termes.

14.Pour démontrer l’existence des fonctions primitives des fonctions continues, il suffit de reprendre la démonstration géo­ métrique indiquée précédemment.

15.Afin de commencer par le problème le plus simple, on

étudie

d’abord

le

mouvement d’une

portion de

matière

assez

petite

pour qu’on

puisse déterminer

sa position

comme

celle

d’un point géométrique.

 

 

 

16.

Les ensembles de convergence absolue sont définis par la

propriété qu’une série peut y converger absolument sans

être

partout absolument convergente.

l’ensemble

des ensembles

17.

On peut

en

effet sans sortir de

mesurables effectuer sur des ensembles mesurables les deux opé­

rations suivantes :...

18.Nous admettrons que l’ensemble E des nombres compris entre 0 et 1 nous est donné, sans rechercher comment il pourrait l’être effectivement.

19.A l’heure actuelle, où la Théorie des fonctions réelles —

non sans avoir perdu un peu de son charme de première jeunes­


se — a cessé d’être une science «nouvelle», il paraît superflu d’en discuter ici l’importance.

20. L’énergie cinétique du système à un instant est le travail utile maximum qu’il est possible de se procurer en n’utilisant que les vitesses acquises à cet instant par les différents points du système, sans utiliser aucune des forces intérieures qui le sollici­ tent.

21.Et les nombreuses branches de l’Analyse, à n’en citer que l'analyse harmonique.équations intégrales etc., n’ont perdu point leur élégance là où elles se sont inspirées des méthodes de la théorie des fonctions réelles.

22.A analyser ce raisonnement, on dirait que les fonctions prises... sont réelles.

23.On peut faire passer un terme d’un membre d’une équa­

tion dans l’autre membre, à condition de changer son signe.

24. Afin de simplifier cette équation, nous nous efforcerons de choisir l’angle a de façon à éliminer le terme comprenant le

produit

des coordonnées

courantes, autrement

dit

de

façon

que

B = 0.

 

 

 

 

 

 

25.

La surface étant

fixe, les expressions

de x,

y,

z en

fon­

ction de qi et q2 peuvent être choisies de façon à ne pas contenir explicitement /.

26. Dans ce

cas,

on

peut toujours ajouter au

système

deux

forces, de façon à réaliser l’équilibre astatique.

 

 

27. Lorsque

le

point

décrit effectivement

un plan

(plan

central), on peut ajouter trois forces, de façon à

établir

l’équi­

libre astatique.

 

 

 

 

 

28. Mais, bien entendu, on doit toujours, autant que possible, faire son choix de manière à obtenir les calculs les plus simples.

29.

Faisons tourner

la demi-tangente de

, de manière à

obtenir

la demi-normal

positive MY.

Si

MY

est dirigée vers

Faire A, celle-ci sera positive, sinon,

elle sera

négative.

30.

Soient maintenant une surface

5

non homogène et M un

de ses points. Découpons un petit morceau de 5 comprenant M; soient AA et Am son aire et sa masse. Le quotient est la

densité superficielle moyenne du morceau considéré. Supposons maintenant que celui-ci tende vers zéro dans toutes ses dimen­ sions, de manière à se réduire finalement au point M. (On entend par là, d’une manière précise, qu’il doit pouvoir être enfermé dans une sphère de centre M et dont le rayon tend vers zéro. 11 ne suffit pas que Faire AA tende vers zéro, ce qui pourrait arriver en supposant qu’elle prenne une forme allongée, mais infiniment

mince, de façon à se réduire à la limite

à un

petit

arc

passant

par M. Dans ce cas la limite dépendrait

du

choix

de

ce petit

arc.)

 

 

 

 



31. Au lieu d’écrire successivement les termes

«o,

«2,

...,

de la suite des valeurs approchées, on se borne à

écrire

l’un

de

ces termes un en prenant n suffisamment grand.

 

 

 

32. Il peut arriver que toutes les conditions d’équilibre soient remplies, sauf celles qui sont relatives aux sens des tensions par rapport aux côtés; alors certains côtés sont comprimés au lieu

d’être tendus et l’équilibre ne subsiste pas.

en fonction

de

33. Si au lieu d’être définie par la valeur de z

x et y, la surface est donnée par les trois équations

 

 

x=f(u, v), y = <?(u, v), 2 = '|>(И, v),

 

 

и et v étant des paramètres arbitraire, l’équation

du

plan tan­

gent sera ...

sont

loin

de

34. Cependant toutes les intégrales premières

jouer un rôle d’égale importance en Mécanique. 11 en est parmi elles dont la constance a une origine très profonde, liée aux propriétés fondamentales de l’espace et du temps, c’est-à-dire à leur uniformité et à leur isotropie.

35. Lorsque la désintégration d’une particule donne plus de deux composantes, les lois de conservation de l’impulsion et de l’énergie laissent évidemment beaucoup plus d’arbitraire aux vitesses et directions , des particules nées de la désintégration. En particulier, l’énergie de ces particules dans le système «c» est loin d’avoir une valeur unique, Il existe, cependant, une limite supérieure à l’énergie cinétique que chaque particule peut emporter avec elle.

INFINITIF —COMPLÉMENT DE DIFFÉRENTS VERBES

1. Soit à calculer la longueur d’un arc de 48° sur un cercle de 12,5 cm de rayon.

2. Ainsi, soit à calculer l’hypoténuse d’un triangle qui a pour côtés de l’angle droit 3 cm et 4 cm.

3. Il est à remarquer que la Mécanique est et avait toujours été étroitement liée avec la technique pratique.

4.Soit à évaluer la longueur de l’arc de courbe AB défini par les équations paramétriques.

5.Ces relations additives sont à considérer comme les «équa­

tions approchées» déduites de l’équation «exacte» S = 0.

6.A ce nouveau point de vue nous aurions à distinguer deux sortes d’Analyse.

7.Ajoutons, quoique nous n’ayons pas à nous en servir, une

propriété caractéristique

des ensembles parfaits de translation:

ce sont

les

ensembles

parfaits

qui sont

décomposables, d’une

infinité

de

manière, en

portions

égales par

translation.

8. Ce que nous venons de dire des nombres 0 montre que la condition est nécessaire. Nous avons donc à montrer qu’elle est suffisante.


9.

Nous

n’aurons

à user que d’un tout petit

nombre

de lois.

10.

Dans

le cas

d’un

corps

homogène,

on

pourra

toujours

commencer par effectuer l’une des trois intégrations.

 

11.

Dans

la pratique,

pour

rectifier une

courbe, c’est-à-dire

pour calculer sa longueur, on commence par calculer son élément linéaire.

12.Deux infiniments petits sont dits de même ordre quand leur rapport tend vers une limite finie et non nulle, ou, plus généralement, finit par rester compris, en valeur absolue, entre deux nombres fixes et positifs. Deux fonctions sont dites équiva- lentes si leur rapport tend vers 1.

13.Etant donné un nombre positif e qu’on peut choisir aussi petit qu’on le veut, on peut lui faire correspondre un nombre

naturel N tel que

l’inégalité

n^>N

entraîne la

suivante

IUn— Ul<e. Autrement

dit, si petit que

soit e, Un finit

toujours

par rester compris entre U — e et

U + в.

 

 

14.Nous ne chercherons pas à donner une définition du mot «ensemble»; il nous paraît qu’il y a là une notion suffisamment primitive.

15.Le but des quelques pages qui vont suivre est précisément de chercher à donner à la notion d’ensemble la précision qui est.

nécessaire pour qu’on puisse l'utiliser dans les recherches rigou­ reuses.

16. Le plus simple des polygones réguliers étant le triangle équilatéral, posons n = 3 et cherchons à déterminer les polygo­ nes pouvant être associés avec ce triangle.

17.Lorsque, nous saurons intégrer les fonctions \|з qui ne pren­ nent que les valeurs 0 et 1, nous en déduirons, grâce aux condi­ tions 3 et S, les intégrales des <p(X) et Ф(х), lesquelles compren­ nent l’intégrale de f(x).

18.Etant donné un ensemble, si nous savons démontrer que, lorsqu’on supprime un nombre fini quelconque d’éléments, il en reste au moins un, nous pourrons affirmer que l’ensemble ren­

ferme une infinité d’éléments et, par suite, qu’il en reste une infinité.

19. Tous les corps abandonnés à eux-mêmes tombent vers le sol; on donne le nom de pesanteur à la cause qui les fait tomber.

20. Cette application du théorème complété fait bien comp­ rendre tout l’usage qu’on en peut faire dans la théorie des fon­ ctions.

21. Les conditions 5 et 5 ' constituent ce qu’on peut appeler

la condition de similitude,

elles fontconnaître ce que devient une

intégrale

par

les

transformations x x— kx, f x(x) = kf(x).

22.

Si

l’on

fait

varier

la direction Op d’une manière arbi­

traire,

le

lieu

du centre ю des forces parallèles рь est un plan

qui se nomme,

d’après Môbius, plan central.