Файл: Трудности перевода с французского языка (на материале математической лексики)..pdf

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206. Il y a en effet deux tangentes en ce point; donc le rap-

ДV

port -ду n’a pas la même limite suivant que Ax tend vers zéro-

par valeurs positives ou par valeurs négatives. Ceci nous montre la nécessité d’une démonstration analytique rigoureuse, laquelle est d’ailleurs très simple. Si la fonction ne garde pas la même valeur dans tout l’intervalle (a, b), auquel cas la dérivée est évidemment constamment nulle, elle doit prendre soit des valeurs, plus grandes, soit des valeurs plus petites que f(a)=f(b).

207.On a f(a + h) =f(a) +hf(a + Qh), 0 désignant un certain nombre compris entre 0 et 1. Telle est la formule des accroisse' ments finis.

208.Si on prend и égal au plus petit des deux nombres posi­ tifs ui et y2, on est assuré que tant que y restera compris entre

y0h et yo+ h, x sera intérieur à l’intervalle (х0—e, x 0+ e ).

209.D’autre part, si k tend vers zéro, il en est de même de h„ d’après (3) et (4).

210.Tout ce que nous venons de dire peut se répéter, avec des modifications évidentes, en partant d’une fonction f(x); au con­

traire, les choses

se compliquent si f(x)

varie tantôt

dans un

sens, tantôt dans

l’autre. Par exemple, si

f(x) présente

un maxi­

mum, on voit que tant que y reste compris entre b et b', il lui correspond une valeur déterminée pour x, comprise entre a et a'.

211. On appelle infiniment petit une valeur variable qui tend vers zéro. Cette quantité variable peut être considérée comme une variable indépendante et dans ce cas, on entend simplement par

ce qui

précède

que, parmi les valeurs numériques

attribuables à

x, on ne s’occupe que de celles qui sont voisines

de zéro,

ou,

d’une

façon

plus précise,

inférieures

en

valeur

absolue à

tel

nombre

positif

e qu’on veut

bien choisir

à

l’avance.

 

212.Ce qu’il faut entendre par là a été expliqué d’une ma­ nière précise à propos de la continuité des fonctions.

213.De même, y = x est, pour x infiniment petit positif,

d’un ordre infinitésimal infiniment petit, en ce sens que, si petit

que soit le nombre positif p, le rapport

tend vers — <x> pour

x— 0.

214.Au lieu de prendre comme variable de comparaison un infiniment petit, on peut aussi prendre un infiniment grand.

215. L’exposant p est encore dit

l’ordre infinitésimal de y.

Mais cette fois, suivant qu’il est

> 0

ou <0,

y est

infiniment

grand ou infiniment petit.

 

 

 

 

216. On est conduit, d’une manière très simple, à la notion

d’intégrale définie’ par la mesure

de

certaines

aires

planes.

217. Nous sommes maintenant ramenés à une question d’ordre purement analytique: trouver la limite dé la somme 5 définie par la formule (1) lorsque n augmente indéfiniment, de manière que


chaque intervalle partiel Xi+\—х,- tende vers zéro. Nous admet­ trons cette démonstration, bien qu’on puisse présenter cet inter­ valle d’une façon assez élémentaire, mais un peu longue. La li­ mite en question se présente par le symbole conventionnel

b

J f(x)dx et se nomme intégrale définie.

O

218. La notion d’intégrale définie s’introduit directement dans

une foule de questions de Géométrie,

de Mécanique et de

Phy­

sique. D’une manière

générale,

il

en

est ainsi toutes les fois

qu’on se propose de

mesurer

une

grandeur dont aucune

partie

ne peut être superposée à la grandeur de même nature prise pour unité.

219. Une fois qu’on est en possession de l’élément linéaire, on fait choix d’une variable indépendante t dont la variation entre deux limites a et p donne naissance à l’arc AB. On fait ce choix de façon que l’élément linéaire se présente sous la forme la plus simple.

220. Soit d’abord à évaluer l’aire A comprise à l’intérieur d’une courbe plane fermée quelconque.

221. Supposons que M dépende d’un paramètre t, celui-ci va­ riant de t0 à t\ lorsque M décrit l’arc MQM\.

222.On est encore conduit à une intégrale définie dont l’élé­ ment d’aire est engendré par la corde MM'.

223.Soit à calculer le volume V intérieur à la surface. Nous pouvons, au second ordre près, remplacer le volume de la petite tranche dV par le volume d’un cylindre de base A.

224.Une ligne est dite homogène si deux arcs de même lon­ gueur ont la même masse, quels que soient ces arcs

225.La masse totale cherchée est la limite de la somme de

toutes les

parties principales

analogues,

lorsque les bandes ten-

dent vers

zéro, c’est-à-dire

l’intégrale

nl

définie m = j f(u) du.

 

 

 

u.

Le calcul de.m est donc ramené à une quadrature quand on sait évaluer la masse dm de chaque bande. Occupons-nous alors de cette dernière. Comme le choix des lignes и est arbitraire, il faut

tâcher d’en profiter

pour

simplifier

le

plus

possible le calcul

de dm.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

226.

Cette

notion

peu

utilisée

jusqu’ici est

due

à Cartan

qui

s ’en est

servi

pour faire

le pont

entre le calcul

des

variations

et

les invariants intégraux.

 

 

 

 

 

 

 

227.

En particulier, il y a lieu

de

se

demander si l’on ne peut

trouver une famille de formes Qa telles que leurs différences a

soient nulles.

tenu du théorème 48, la condition 5 sera établie

228. Compte

si l’on prouve le

lemme 54.

229. En gros,

il s’agit de structures définies par une intégrale


d’ordre p portant sur une «fonction lagrangienne» dépendant des éléments de contact d’ordre quelconque k.

230.Ce résultat établi, il suffit donc de'construire une section globale de e, ce qui est possible.

231.La vérification des conditions I, II, III, est à peu près

immédiate, compte tenu des valeurs de h définies en (a) au début du paragraphe.

232.Il est manifeste que, quand la série |C0150 + |C ||S |+ |C 2|...

converge, notre raisonnement devient exact, l’addition terme à terme étant permise.

233.Aussi nous semble-t-il difficile d’introduire la considé­ ration de telles fonctions et, en général, de toutes les classes de

fonctions dont l’ensemble a une puissance supérieure à celle du

continu;

car

on ne

peut se servir, dans le calcul, d’une fonction

que si

elle

est

définie au moyen d’une infinité dénombrable

d’éléments. Tel est le cas des fonctions continues et aussi des

fonctions discontinues seulement

pour une

infinité dénombrable

de valeurs de la variable.

de

la droite et du cercle étant

234. Les points d’intersection

tous équidistants de O, sont par

même

équidistants de H.

235.Considérons en effet tout autre droite que celle qui vient d’être déterminée.

236.Enfin on montre que toute structure variationnelle libre

quelle que soit sa dimension p engendre un invariant intégral qui généralise l’invariant «relatif» de Poincaré-Cartan. Moyennant une condition supplémentaire de normalité, cet invariant intégral caractérise même les extrémales. Il en résulte une nouvelle appli­ cation de la notion de relèvement libre d’une structure variation­ nelle B, à savoir associer des invariants intégraux à cette struc­

ture et

même, si possible, caractériser ses extrémales au

moyen

de cet invariant.

 

237.

La caractérisation des extrémales par un invariant inté­

gral est due à Cartan dans le cas où k — p = 1.

 

238.

Nous laissons au lecteur le soin de vérifier les conditions

I et II;

quant à la troisième, elle résulte de la définition

IV.

239.

Les faisceaux peuvent être définis à partir de la

notion

de classe locale, lorsque l’ensemble F est muni d’une structure algébrique. Celle-ci est caractérisée par les lois de composition interne et par les lois de composition externe entre certains do­ maines d’opérateurs Qi et F, ces lois n’étant d’ailleurs pas néces­ sairement partout définies.

240. L’étude des systèmes globaux sur une variété V est ren­ due possible par la théorie des faisceaux qui rend automatique le passage du local au global et inversement.

241. La plupart des systèmes considérés dans la suite sont globaux, aussi écrirons-nous souvent «système» au lieu de «systè­ me global».


242.Nous conservons les notations du numéro précédent et nous introduisons en outre les suivantes.

243.Soient en outre E et F deux diagrammes spectraux mon­

tants (resp. descendants) relatifs l’un à

M, l’autre

à

N.

du

244.

La dernière inégalité n’est autre

que

la

condition

théorème de Frobenius.

lemme

36

et

par

245.

Ceci achève la démonstration du

même du théorème 35.

 

 

 

 

 

 

246.

Le nombre des voyageurs montant chaque jour dans un

certain

train de Lyon — Paris représente

un

événement

très

complexe, variant d’un jour à l’autre. Bien que cet événement ne soit pas arbitraire, il n’est pas non plus suffisamment régulié pour qu’on puisse'le prévoir exactement le jour d’avant, tout en l’étant assez pour qu’il soit prévu entre certaines limites de variabilité.

247.Les expériences où le temps joue un rôle essentiel s’ap­ pellent, en général, des processus. Il s’agit, bien entendu, de pro­ cessus aléatoires, dont la variété est aussi grande que celle des phénomènes de la nature.

248.Les suites aléatoires les plus simples sont les suites de Bernoulli correspondant aux épreuves répétées indépendantes relativement à un événement dont la probabilité reste constante. L’étude de ces suites est d’ailleurs étroitement liée au développe­ ment historique de la théorie des probabilités, ainsi qu’à ses fon­ dements.

249.Nous donnons le nom de suite bernoullienne typique à

une

suite hypothétique jouissant de la propriété ci-dessus quels

que

soient l et e.

250. Ainsi que nous l’avons déjà montré, parler de la conver­ gence des éléments de NBab ou bien parler de la convergence en probabilité des éléments de Bai, sont deux modes d’exprimer le même concept. Nous préférons ici la forme la plus intuitive qui est celle des espaces de suites NBab-

251. Ce théorème, dont l’énoncé est dû à V. J. Glivenko, nous montre qu’une suite U de réalisations d’une variable aléatoire fournit toutes les informations statistiques que représente sa fonction de répartition, donc en particulier, toutes les valeurs moyennes.

252.Par contre, il y a lieu de se demander si l’existence d’une telle limite n’est pas une des restrictions que nous devons cher­ cher à introduire, d’après ce que nous avons dit aux deux numé­ ros précédents.

253.Sous cette forme le théorème paraît évident; mais il importe de remarquer que s’il n’avait pas été préalablement dé­ montré, il n’eût pas été légitime d’introduire ce langage.

254. La théorie des opérations à effectuer sur de tels nombres a été présentée dans les numéros 9 et 27.

255. On ne peut pas diviser les deux membres d’une congruen­ ce par un même nombre. D’abord cette opération n’a de sens que


si les deux membres sont divisibles par le diviseur en question.

256.Ces phénomènes sont supposés connus du lecteur; aussi nous bornerons-nous à en rappeler les aspects essentiels (en insi­ stant avant toute chose sur les points de contradiction avec la Théorie Classique).

257.Lors de sa publicité, l’hypothèse de Planck parut inac­ ceptable, la quasiunanimité des physiciens se refusant à y voir

autre chose qu’un artifice mathématique heureux.

258. C’est précisément pour obtenir un ensemble muni d’une loi interne où tout élément a un symétrique qu’on construit les entiers négatifs.

259.Nous terminerons ce paragraphe en disant quelques mots d’un cas particulier, très important d’ailleurs, de façon à per­ mettre au lecteur, au moins dans ce cas, de se représenter l’en­ semble des résultats acquis d’une façon moins abstraite.

260.Commençons par la loi de conservation qui découle de

l’uniformité du temps. Du fait de cette uniformité, la fonction de

Lagrange d’un système fermé ne dépend pas explicitement

du

temps.

 

 

 

 

 

(c’est-à-

261. Commençons par la désintégration «spontanée»

dire non

provoquée par

des forces

extérieures)

d’une

particule

en deux

«composantes»,

autrement

dit en deux

autres particules

se déplaçant après la désintégration indépendamment

l’une

de

l’autre.

 

 

 

 

 

 

 

262. Pour soustraire deux nombres entiers quelconques, on

écrit le plus petit au-dessous du plus grand,

de

façon

que

les

unités de même ordre se correspondent. On retranche successive­ ment, en commençant par la droite, chaque chiffre du plus petit nombre du chiffre placé immédiatement au-dessus de lui. Si une telle soustraction est impossible, on augmente le chiffre du plus grand nombre de 10 unités de son ordre. On effectue la sous­ traction et, pour compenser l’augmentation précédente, on aug­ mente d’une unité le chiffre suivant du petit nombre.

263.Pour éviter toute obscurité, nous supposerons que le contour C peut se décomposer en un nombre limité de segments sur chacun desquels la variation de x et de y ne change pas de sens quand on parcourt le contour.

264.Quelque petit que soit e, on peut supposer, dans cette

dernière

intégrale,

\f(x,

y ) f(x,

p)|<e,

sous

la

condition

1y — pl < ô. Alors il

vient,

par

le

théorème

de

la

moyenne,

|cp(y) — ф (р )|< е (Л — a).

Donc,

la

variation

de

ф(y)

peut être

rendue

aussi petite

que l’on veut,

et cette fonction est

continue

au point p.

 

 

 

 

 

 

 

265. Cette démonstration s’étend facilement au cas où f(x,y) possède un nombre limité de points de discontinuité d’ordon­ née p. En effet, admettons, pour fixer les idées, qu’il n’y en ait qu’un seul et que son abscisse a soit intermédiaire entre a et A.