Файл: Трудности перевода с французского языка (на материале математической лексики)..pdf
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88. Pour comparer les deux nombres tnu m2 nous nous servi rons d’un théorème dû à M. Borel.
89. Soit f(x) une fonction continue en tous les points de (a, b) y compris a et b.
90. On peut enfermer E dans une infinité dénombrable d’in-
lervalles сц et |
CAb(Ei) dans les |
intervalles p;, de manière |
que |
la mesure des |
parties communes |
aux ai et p,- soit égale à e; |
les |
e,- étant des nombres positifs choisis de manière que la série Zec soit convergente et de somme e.
91.Ces remarques d’ailleurs n’ont pas de rapport avec la dé monstration du théorème de M. Picard.
92.Les mots «plus grand» et «plus petit» qu’on a employés
plus haut ont leur sighification algébrique en sorte que, si n est négatif, la valeur approchée par excès (n + l)a est plus petite, en valeur absolue, que la valeur approchée par défaut.
93.Dans le numéro qui suit les nombres dont il sera question seront de ceux que l’on considère en Arithmétique.
94.Etant donné un nombre quelconque, on sait trouver sa
racine |
carrée |
à une |
unité |
près, par |
défaut, c’est-à-dire |
le |
plus |
grand |
nombre |
entier |
dont |
le carré |
soit inférieur ou |
égal |
au |
nombre donné.
95. En parlant des classes inférieure et supérieure relatives à un nombre irrationnel, on entendra parler des classes qui le définissent.
96.Nous sommes ainsi amenés à proposer la définition sui
vante.
97.Deux monômes semblables dont les coefficients sont des
nombres opposés sont dits opposés.
98. Le plan tangent en M ayant pour équation
sa distance à l’origine sera |
donnée par |
|
|
|
|
z- |
|
|||||||
P |
ai |
+ ТГ + |
C‘- ■' ' |
|
||||||||||
99. L’équation ci-dessus s’écrit donc |
|
|
|
|
|
|
||||||||
|
|
|
d (2T) |
|
|
Q w i |
4 * |
Q,<72 |
|
|
|
|
||
|
|
|
dt |
|
|
|
|
|
|
|
||||
ou en multipliant par dt, dt = Q\dq\ + Q2dq2, ce qui est |
l’équation |
|||||||||||||
des forces vives. |
appliquant |
les |
formules |
générales |
(262), on aura |
|||||||||
100. |
En |
|||||||||||||
pour équations du mouvement |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|||||
|
|
|
m d i x |
- n |
m |
V |
= |
. . |
, |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
/. sin «)Г, |
|
|
|
|
||||||
|
|
|
m dt* ~ ° ’ |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
la réaction normale ayant précisément |
pour |
valeur |
X. |
|
xy, |
|||||||||
101. Si 0 est l’angle yOR du plan mobile avec le |
plan des |
|||||||||||||
on aura |
0 = |
iùt, |
со étant la vitesse |
angulaire |
de rotation. |
en |
||||||||
102. |
Pour |
exprimer |
les |
coordonnées |
cartésiennes |
x, |
y, z |
fonction de qit q2, q$ remarquons que, qb <72, q-i étant les trois
racines |
de l’équation |
(1) en K, on a |
identiquement . ..* |
aura |
||
103. |
L’équation de |
la surface |
étant z = ц>(г), |
on |
||
V2 = dr2 (........) En éliminant alors |
le temps et la vitesse |
entre- |
||||
ces trois équations, il viendra dr2( 1 + |
ф2) + ....... |
|
|
|||
104. D’autre part, |
le théorème des aires donnera r\ |
= |
C = |
|||
= rQV0, l'o désignant |
la |
vitesse initiale nécessairement |
tangente |
au parallèle.
105. La densité p au point P variant avec la position du point est une fonction du paramètre qui détermine la position de P sur la courbe.
106. Un corps étant en équilibre dans la position actuelle, on demande, en faisant les hypothèses de l’exercice II, si ce corps,
admet un axe d’équilibre. |
prenons |
sur |
la droite |
un |
|
107. L’équilibre |
ayant lieu, |
||||
point quelconque A. |
équilibre |
sous |
l’action des |
forces. |
|
108. Le point |
M étant en |
F1, F2, F3, la somme algébrique des moments de ces forces par rapport au point O est nulle.
109. Pour exprimer x et g en fonction du temps, rappelons
qu’on a obtenu dQ = |
; en remplaçant alors z par la valeur |
obtenue précédemment, |
deviendra une fonction rationnelle |
de snKt.
110. Car, la réaction normale étant dans un même plan avec l’axe de révolution, son moment est nul.
111. Ces équations s’intégrent immédiatement et donnent
y — B COS
A, B, a, p étant des constantes arbitraires qu’on déterminera par les conditions initiales.
112.Considérons sur une surface un point O où le plan tan gent est horizontal, la surface étant située au-dessus du plan tangent, dans le voisinage du point O.
113.Soient trois axes Oxyz\ appelons X, Y, Z les valeurs
algébriques des projections d’un vecteur A\B\ sur les |
trois |
axes, |
||||
la projection sur |
chaque axe |
étant |
faite parallèlement |
au |
plan |
|
des deux autres. |
les vecteurs |
soient |
perpendiculaires, |
il |
faut et |
|
114. Pour que |
il suffit que cos(PiP2) soit nul; on a ainsi, les axes étant rectan gulaires, la condition X]X2 + У1К2 + Z\Z2 = 0.
115. |
Si Гоп pose alors Kt = t', |
l’équation |
précédente |
prend la |
|||||
forme |
dx^ |
|
h' désignant |
une |
constante; |
c’est |
|||
-^p- = x2(6k2sn2t'h'), |
|||||||||
l’équation de Lamé. |
|
|
fonction |
de |
x, |
y, z et |
de |
leurs |
|
116. |
X, Y, Z étant donnés en |
||||||||
dérivées par rapport à |
t, il |
sera |
facile de calculer Q en fonction |
||||||
de q\, q2, Яз et de leurs |
dérivées |
par rapport |
à |
t. |
|
|
117.Les théories géométriques exposées dans ce chapitre sont dues principalement à Poinsot.
118.Avant d’aborder la Mécanique, nous exposerons la théo
rie des grandeurs géométriques, ou vecteurs, suivie de notions élémentaires de Cinématique.
119.La Mécanique a pour objet de résoudre les deux problè mes suivants.
120.Je commence par l’exposition des notions préliminaires
indispensables : théorie des vecteurs etc.
121.Quand un corps solide est sollicité par deux forces appli quées en des points fixes dans le corps, constantes en grandeur, direction et sens, il existe toujours un axe parallèle à une direc tion donnée tel que, en fixant cet axe, le corps soit en équilibre indifférent dans toutes les positions qu’il peut prendre.
122.Quand p est constant, la surface est dite homogène.
123.L’élément dz aura différentes expressions suivant le
système de coordonnées employé.
124. Ces conditions se résument d’une manière simple dans la construction suivante qui conduit au polygone de Varignon.
125. Les extrémités Af| et M„ sont |
attachées |
en des |
points |
|
fixes. 11 faut alors prendre comme inconnues auxiliaires |
les |
for |
||
ces Fi et Fn, représentant les actions |
des points |
fixes |
sur |
les |
extrémités M\ et M„ ou, ce qui revient au même, les deux ten
sions extrêmes T2,i, Tn-i,n- |
|
l’action |
des forces |
|||
126. |
Le point M2 étant en équilibre sous |
|||||
F2, T2ii, |
T2i3, la somme algébrique des |
moments |
de |
ces |
forces |
par |
rapport au point O est nulle. |
d’un point, |
soit |
libre, |
soit |
||
127. |
Les équations du mouvement |
assujetti à glisser sur une surface ou sur une courbe fixes ou mobiles, ont été mises par Lagrange sous une forme qui est la même dans les trois cas, avec cette seule différence que le nombre des paramètres à trouver en fonction du temps est trois pour un point libre, deux pour un point sur une surface, un pour un point sur une courbe. Nous verrons plus loin que les équations du problème le plus général de la dynamique des systèmes peu vent se mettre sous cette même forme, le nombre des paramètres étant alors quelconque, pourvu que les liaisons puissent être exprimées en termes finis et que les paramètres soient de véri tables coordonnées.
128. Quand un point matériel pesant est retenu par un obs tacle, Faction de la terre s’exerce encore sur lui, mais l’effet de
cette force est modifié: cela tient à ce que l’obstacle exerce aussi
une action sur le point.
b
129. L’intégrale définie §f(x)dx (a<b) est susceptible d’une
a
interprétation géométrique. |
ainsi |
couduits |
à |
élargir notre |
notion |
|
130. Nous sommes |
donc |
|||||
de l’intégrale définie, |
en voyant |
que f(x), |
en général continue, |
|||
peut avoir entre a et |
& un |
nombre limité |
de |
discontinuités |
de la |
nature indiquée sans que l’intégrale cesse d’avoir un sens précis. 131. Le procédé d’intégration dit par parties permet de trans former une intégrale en une autre, et il y a là souvent une faci
lité pour la recherche effective de cette intégrale. |
donc |
ramené |
|
132. Le calcul de la seconde intégrale |
se trouve |
||
à celui de la première. |
arbitraire, |
de |
manière |
133. Or, on peut choisir C, constante |
|||
que P„—CYn soit de degré n—1. |
|
|
|
134. Nous sommes ainsi amenés à proposer la définition sui
vante: nous dirons qu’un ensemble est |
donné |
lorsque, |
par |
un |
|
moyen quelconque, on sait en déterminer tous |
les |
éléments |
les |
||
uns après les autres, sans en excepter |
un seul |
et |
sans |
répéter |
aucun d’eux plusieurs fois. Cette définition, à laquelle nous avons été naturellement conduits, paraîtra, sans doute, claire au lecteur.
135. En définitive, pour nous donner l’ensemble U, nous som mes partis d’un ensemble E, de même puissance que U, supposé donné. Il est clair que si l’on regarde un ensemble quelconque comme donné, on pourra regarder comme donnés tous les en sembles de même puissance qu’on peut en déduire par un pro
cédé analogue à celui qui, appliqué à E, nous |
a donné U. |
|
136. Une fois |
l’ellipsoïde d’inertie relatif au point O tracé, le |
|
moment d’inertie |
par rapport à un axe 06 est |
, P désignant |
le point où Oô perce l’ellipsoïde.
137. Nous allons voir que ce contour polygonal tend vers une limite quand tous les côtés tendent vers zéro, leur nombre aug mentant indéfiniment; ce sera la longueur de l’arc.
138. Le déplacement infiniment petit de chaque point du système étant la somme géométrique du déplacement dû à la rotation et du déplacement dû au glissement, la somme des tra vaux virtuels des forces directement appliquées est la somme des travaux qui seraient dus aux deux déplacements envisagés séparément.
139.Touver les fonctions F(x) qui admettent pour dérivée une fonction donnée f(x).
140.Les nombres devant rester indéterminés, on ne peut pas
effectuer les opérations. |
des intervalles |
sans parties commu |
|
141. |
La longueur totale |
||
nes tend |
vers zéro lorsque, |
e restant fixe, |
les longueurs de cha |
que intervalle tendent vefs zéro.
142. D’ailleurs
S — 5 -= 2 ( ••- X eAy,
en appelant e la mesure de E et Ay la plus grande longueur des intervalles.
143. Ceci revient à chercher si l’égalité (3) est exacte.
144. A plusieurs reprises on s’efforçait de généraliser l’ancien procédé d’intégration de Cauchy-Riemann, mais c’est à M. Lebesgue que nous devons un véritable progrès en cette matière.
145. La théorie moderne des fonctions réelles s’est dégagée de l’Analyse classique dans la deuxième moitié du XIX-е siècle grâce aux recherches d’abord peu coordonnées, portant sur les fondements du calcul infinitésimal, et aux découvertes des fon
ctions jouissant |
des |
propriétés les plus |
étranges |
et |
inattendues. |
146. On sait |
que, |
si ce problème est |
possible, |
il |
l’est d’une |
infinité de manières, et que toutes les fonctions primitives F(x) d’une même fonction f(x) ne diffèrent que par une constante additive. Ce qu’on se propose, c’est de trouver l’une quelconque des fonctions.
147.Les définitions précédentes appartiennent à l’ainsi dite Théorie des ensembles abstraits, à savoir, qui s’occupe des pro priétés des ensembles les plus généraux.
148.Par la distance des ensembles A et B on entend la borne
inférieure des nombres p(a, b) où a G A et b 6 B.
149. Nous entendrons par figure élémentaire ou, tout court, par figure un ensemble qui est soit vide, soit somme d’un nombre fini d’intervalles.
150.Nous allons introduire ici deux opérations analogues à celles de la multiplication et de la soustraction des ensembles.
151.Il suffit de mentionner les théorèmes, devenus classiques aujourd’hui, sur la manière dont se comporte une fonction holo-
morphe sur la frontière ou à l’approche de la frontière du cercle de convergence.
152. JLa découverte de Lebesgue a permis de rapprocher les deux idées fondamentales d’intégrale, à savoir celle d’intégrale
définie et celle de |
fonction primitive |
l’existence |
des |
intégrales, |
153. Dans les |
théorèmes relatifs à |
|||
on emploie des méthodes différentes |
suivant que |
les |
équations |
et les données sont supposées ou non analytiques. |
|
|
|||
154. |
La théorie des intégrales de Denjoy est basée sur la dé |
||||
finition |
dite descriptive de ces intégrales, |
ce |
qui |
a |
permis à |
l’auteur d’éviter l’introduction de nombres transfinis. |
|
|
|||
155. |
A la fin de ce chapitre on trouvera |
des théorèmes con |
|||
cernant |
les fonctions de deux variables, |
à |
savoir: |
le |
théorème |
déjà classique de Rademacher sur l’existence de la différentielle totale et le théorème de Looman et Menchiff, d’après lequel une fonction continue complexe est holomorphe.
156. Toutefois il a semblé préférable pour des raisons didacti