Файл: Трудности перевода с французского языка (на материале математической лексики)..pdf
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1.Tout ensemble de nombres et de lettres reliés par des sig nes indiquant des opérations à effectuer forme une expression algébrique.
2.Voici la question à résoudre.
3.L’intérêt que présente cet exercice est de montrer que l’intégrale peut avoir un sens, la fonction positive à intégrer ne tendant pas vers zéro.
4.Le théorème à démontrer revient donc à ceci.
5.Etant donné un parfait E, existe-t-il ou non des séries tri-
gonométriques |
arbitrairement |
rares ou |
lacunaires (dans |
un sens |
à définir) dont |
la somme soit |
nulle |
sur E sans être |
partout |
nulle?
6. Il ne rentre pas dans le cadre de cet Ouvrage d’aborder ce ■côté de la question. Nous allons seulement passer en revue les différents types de fonctions qu’on sait intégrer par les fonctions
'élémentaires, en indiquant |
pour chacun |
d’eux la |
méthode à |
.suivre pour effectuer la quadrature. |
évaluer |
ne peut être |
|
7. Il arrive même que |
la grandeur à |
définie d’une manière précise que par le moyen d’une ou plusi eurs intégrales.
INFINITIF-SUJET
1. Faire varier un même nombre de fois toutes les coordon nées des particules, c’est passer de certaines trajectoires à d’aut res, géométriquement semblables aux premières et n’en différant
que par leurs dimensions linéaires. Nous sommes |
amenés ainsi |
||
à la conclusion suivante. |
ses racines. |
||
2. |
Résoudre une |
équation, c’est calculer toutes |
|
3. |
Si le nombre |
des éléments est fini, donner |
un ensemble, |
c’est |
donner tous ses éléments, sans en excepter un seul. |
||
4. |
Retrancher (a\+bii) de (a2+ b2i), c’est trouver (a + bi) tel |
||
que l’on ait (a2+ b2i) = (al+ bli) + (a + bi) = (ai+a) + (bl + bi). |
|||
5. Dire que y-+l lorsque x->x° revient alors à dire qu’étant |
|||
donné un nombre e> 0 il est possible de déterminer un nombre |
|||
q > 0 |
tel que les conditions (1) et (2) entraînent |y—/|<e. |
||
|
|
PARTICIPE PASSÉ |
|
1. Les oscillations normales d’une molécule peuvent être clas sées suivant le caractère du mouvement des atomes, en vertu de
considérations liées à la symétrie |
de répartition des atomes dans |
||
la molécule (position d’équilibre). |
jusqu’aux termes de l’ordre |
||
2. En résolvant cette équation |
|||
de h2 nous |
obtenons les valeurs limites |
des e cherchées. |
|
3. L’une |
des applications les |
plus |
importantes des formules |
que nous avons obtenues ci-dessus est la diffusion des particules chargées dans un champ coulombien.
4. Il existe un type de mouvement extrêmement répandu en mécanique: ce sont les petites oscillations effectuées par un système au voisinage de sa position d’équilibre stable. Nous abor derons l’étude de ces mouvement avec le cas le plus simple: celui d’un système à un seul degré de liberté.
5. Considérons un système de points matériels réagissant les
uns sur les autres, mais isolés de tout corps |
étranger; |
on |
dit |
d’un tel système qu’il est fermé. |
|
points |
|
6. La sphère est la surface courbe formée par tous les |
|||
qui sont à une même distance, appelée rayon, |
d’un point |
qui |
est |
le centre de la sphère.
7. Une zone est une portion de la surface de la sphère com prise entre deux plans sécants parallèles.
8. Deux forces parallèles et de sens contraire appliquées à un solide ont une résultante égale à leur différence.
9. L’accélération communiquée à un corps par une force don
née est directement proportionnelle |
à la grandeur de cette force |
et inversement proportionnelle à la |
masse du corps; la direction |
de l’accélération coïncide avec celle de la force.
10. Une somme ne change pas si l’on remplace plusieurs ter mes par leur somme effectuée.
PARTICIPE PRÉSENT
1.Tout segment joignant deux sommets non consécutifs d'un1 polygone est une diagonale.
2.Tout angle ayant son sommet au centre d’un polygone et
dont les côtés passent par deux sommets consécutifs est appelé angle au centre du polygone.
3. Pour que cette définition s’applique, il faut d’abord qu’il existe une fonction continue F(x) vérifiant la formule (1). Ceci revient dans les deux cas traités par Cauchy et Dirichlet, à sup
poser l’existence des limites |
qui ont servi dans la définition. |
|
4. Si l’on regarde U et V |
comme |
les coordonnées rectangulai |
res d’un point d’un plan, ces |
courbes |
sont des paraboles quelcon |
ques ayant pour directrice l’axe des V.
5. Une grandeur géométrique, ou vecteur, est une droite limi
tée A\Bi ayant une origine A, et |
une |
extrémité Bt. |
|
6. |
On verra que Af2, Af3, A/4, O sont dans un même plan, qui |
||
n’est autre que P (c’est-à-dire le plan), comme ayant en commun |
|||
avec lui les trois points O, M2, Af3, ..., |
et ainsi de suite. |
||
|
PROPOSITIONS PARTICIPES (CONSTRUCTION ABSOLUE) |
||
1. |
On appelle les nombres |
e |
et 0 coordonnées polaires du |
point Al (dans le système donné), le nombre e étant considéré comme première coordonnée ou rayon polaire, le nombre 0 comme deuxième coordonnée ou angV polaire.
2.Dans de nombreux problèmes l’équation de la courbe joue Un rôle fondamental, la courbe elle-même étant considérée comme une chose secondaire.
3.Le nombre des degrés de liberté vibratoires d’une molécule
linéaire étant 3n—5, on aura 2n—4 oscillations pour lesquelles les atomes sortiront de la droite.
4.La fonction de Lagrange du solide s’obtient en retranchant l’énergie potentielle de (32,3).
5.On obtient ainsi aussi bien l’expression de la section de diffusion du faisceau incident (x exprimé en fonction de 0t) que
celle des particules initialement au repos (x exprimé en fonction
de 02) .
6. L’homogénéité de l’espace donne lieu à une autre loi de conservation. Du fait de cette homogénéité, les propriétés méca niques d’un système fermé ne changent pas lors d’un déplace
ment parallèle du système entier dans l’espace. On désigne |
sous |
le nom de déplacement parallèle une transformation dans |
la |
quelle tous les points du système se déplacent d’un même seg ment; autrement dit, leurs rayons vecteurs r0->ra+ e. La varia tion de la fonction L pour une variation infiniment petite des coordonnées (les vitesses des particules étant constantes) est donnée par
a a
la sommation étant effectuée pour tous les points matériels du système, e étant arbitraire, la condition ôL = 0 est équivalente à la condition
n
7. Pour que la trajectoire soit fermée, il faut et il suffit que cet angle soit une fraction rationnelle de 2л- c’est-à-dire ait la forme Д«р = 2лт/п, m et n étant des nombres entiers.
8. Lorsque cette condition est remplie, les deux circonférences se coupant en deux points, il en résulte une ambiguïté fâcheuse.
9. Les expressions de la forme-^-,Л et B étant deux expres
sions algébriques, s’appellent fractions algébriques. |
un |
|||
10. |
Quand la |
construction d’un triangle en |
connaissant |
|
côté et |
les angles |
A et C adjancents à ce côté |
est possible, |
elle |
ne l’est que d’une manière. On en conclut le premier cas d’éga lité des triangles.
11. L’aire totale d’un prisme droit s’obtient en ajoutant au double de l’aire d’une base, l’aire d’un rectangle ayant pour lon gueurs de ses côtés le périmètre de la base du prisme et la hau teur du prisme.
12. L’échelle d’un dessin représentant un objet est une fra ction, dont le numérateur est la mesure de la longueur du seg
ment dessiné et le dénominateur la mesure de |
la longueur du |
||||
segment réel, les deux segments |
étant |
mesurés |
avec |
la |
même |
unité. |
|
|
poids |
de |
l’unité |
13. On appelle poids spécifique d’un corps le |
|||||
de volume de ce corps. Le poids |
d’un |
corps est |
égal |
au |
produit |
de son poids spécifique par son volume, les poids et les volumes étant exprimés en unités correspondantes.
14. |
Le cercle étant partagé en 8 parties égales, si on joint les |
|||||
points |
de |
division |
de |
3 en 3, |
on obtient l’octogone étoilé. |
|
15. |
Le |
volume |
du |
cylindre |
droit s’obtient |
en multipliant la |
surface |
de |
la base |
par la hauteur. On a V = nR2h. |
|||
16. |
Le système des axes mobiles étant animé d’un mouvement |
|||||
de translation, la |
rotation instantanée de ce |
système est nulle. |
17.Le moment résultant ayant une longueur constante, la distance du plan tangent en m au centre Q est constante.
18.Le XIX siècle se caractérise par le développement le plus fructueux de la Mécanique, les savants russes y apportant une contribution considérable.
19.La multiplication est une opération qui a pour but, étant donné deux nombres, l’un appelé multiplicande, l’autre multipli cateur, d’en former un troisième appelé produit qui soit la somme d’autant de nombres égaux au multiplicande qu’il y a d’unités au multiplicateur.
20.Le théorème suivant permet de calculer X et Y, les points Mt et M2 étant donnés.
21. Si l’on-suppose le z de la surface développé en série par la formule de Maclaurin pour de petites valeurs de x et y, on a,
pour l’équation de la surface, z = ^- + 4 - + q>(x, y), les termes
composant ц>(х, y) étant du troisième ordre au moins en x et y, p et q désignant les deux rayons de courbure principaux de la
surface en 0. Le point matériel étant pesant, |
il y a |
une |
fonction |
|
de force U = —gz. |
d’abord |
V2 = 2 gz + h, |
||
22. |
Le théorème des forces vives donne |
|||
en prenant l’axe des z dirigé vers le bas. |
|
|
|
|
23. |
Quand la surface est homogène, p est |
constant, |
la masse |
|
M est |
pS, S désignant l’aire de la surface, et |
l’on a ... |
|
24.Imprimons au point M un déplacement virtuel qui s’effec tue sur la surface S, c’est-à-dire qui est obtenu en laissant t con stant.
25.Une fois les impulsion p remplacées par leurs valeurs constantes données, les équations (46,7) se réduisent à des équa tions contenant seulement les coordonnées, de sorte que les coor données cycliques disparaissent complètement.
26.Une fois le mouvement connu, pour avoir la réaction, il
suffira de tirer ... d’une |
quelconque des |
équations |
du |
mouve |
||||
ment. |
|
|
x, |
y, г |
en |
fonction de |
||
|
27. Pour obtenir les équations donnant |
|||||||
t, |
il |
faudra éliminer ... |
entre ces équations |
(2), |
ce |
qui |
donne |
|
deux |
équations. Une fois |
le mouvement connu, la valeur |
de .. . |
|||||
et, |
par suite, fa grandeur |
de la réaction normale sera |
fournie par |
une quelconque des équations (2) ou par une combinaison de ces équations.
28. Une fois le cylindre en mouvement, on admet que, s’il y a roulement, la réaction du plan s’opposant au roulement atteint constamment son maximum, de sorte que, pendant le roulement, le couple représentant le frottement de roulement est égal con stamment à Nb, N désignant la composante normale de la réaction du plan de même que, s’il y a glissement, la composante
tengentielle F de la réaction |
est constamment |
égale à Nf. |
||||
29. |
Ceci posé, imaginons |
qu’on ait |
marqué |
sur l’axe |
tous les |
|
points |
dont l’abscisse est de |
la forme |
na, n |
|
étant un |
nombre |
entier.
30.Ceci posé, les lignes de la surface, représentées par l’équa tion (45,2), sont telles qu’en un point quelconque de chacune d’elles le plan tangent est le même.
31.Etant donné que l’ellipse est symétrique par rapport à chacun des axes de coordonnées, il suffit de prendre en consi dération la portion d’ellipse qui est située dans le premier qua drant.
32.Etant donné que la fonction de Lagrange est indépendante
de r, nous avons |
= 0, et les équations de Lagrange prennent |
la forme ...
33.Etant donné un triangle, il existe toujours un cercle pas sant par les trois sommets de ce triangle. Ce cercle est le cercle circonscrit au triangle.
34.Etant donné un polygone gauche fermé P, on dirige, sui vant les côtés de ce polygone, dans un même sens de circulation,
des forces égales aux côtés.
35. Nous venons de voir qu’étant donnée une fonction conti
nue, il |
existé toujours une |
fonction continue ayant f(x) pour |
||
dérivée; |
on |
sait |
d’ailleurs |
que toutes les fonctions continues |
ayant même |
dérivée |
ne diffèrent que par une constante. |
|
|
|
|
PRONOM IMPERSONNEL |
|
||
1. Il est évident que la multiplication de la fonction de La |
|||||||
grange |
d’un |
système mécanique |
par une |
constante arbitraire |
|||
n’influe |
pas |
par elle-même sur les équations du mouvement. |
|||||
2. |
Par |
un |
point il ne passe qu’une perpendiculaire |
à une droite. |
|||
3. |
Il |
a |
été convenu de choisir, |
comme |
unités de |
volume, les |
volumes des cubes dont la longueur d’arête est le mètre ou un multiple ou un sous-multiple du mètre.
4.Il existe, pour les triangles rectangles, les cas de construc tion et d’égalité suivants.
5.Dans une force, il convient de distinguer : le point d’appli cation, la direction et la grandeur ou intensité.
6. Par deux points, il passe toujours une droite |
et |
il |
n’en |
passe qu’une. |
|
|
|
7. La notion de forces concentrées est conventionnelle puisque, |
|||
pratiquement, il est impossible d’appliquer une force |
à |
un |
corps |
en un seul point. |
|
|
|
8.La règle de l’addition des nombres décimaux est la même que celle des nombres entiers. 11 suffit de placer, dans la somme obtenue, la virgule à son rang.
9.Il ne peut pas se faire qu’il y ait à la fois dans la première classe un nombre A plus grand que tous les autres nombres de cette classe.
10.Parmi les propositions il s’en trouve que l’on admet comme évidente sans démonstration.
11. Il peut arriver qu’il n’y |
ait pas d’objet appartenant à la |
|
fois à tous les ensembles d’une |
famille |
considérée. |
12. Il est d’ailleurs facile de |
calculer |
cette dérivée, lorsqu’on |
a établi son existence. |
|
|
13.Il est souvent fort pénible de reconnaître si une quadra ture peut ou non se ramener aux fonctions élémentaires.
14.Il est inutile de recourir à la formule de Green et nous
allons donner une autre démonstration qui s’étend |
plus facile |
ment à un nombre quelconque de variables. |
un théorème |
15. Pour faire cette théorie, il convient d’établir |
|
dû à M. Vitali. |
|
PRONOM RELATIF («DONT») |
|
1.Puisque pour un mouvement plan il y a en tout 2n degrés de liberté, dont deux de translation et un de rotation, le nombre des oscillations normales qui laissent les atomes dans le plan est égal à 2n — 3.
2.Les coordonnées r et r' d’un même point dans deux systè mes de référence différents K et K' dont le deuxième se déplace par rapport au premier avec une vitesse V, sont liées par la re lation r = r + Vt.
le |
3. Nous appellerons vecteur de rotation infiniment petit ôcp |
|
vecteur dont la valeur absolue est égale à l’angle de rotation |
||
et |
dont |
la direction coïncide avec l’axe de rotation (de telle sorte |
que par |
rapport à la direction de ôcp, la rotation s’effectue suivant |
|
la |
règle |
du tire-bouchon). |
4. La longueur d’un cercle est égale au produit de son dia
mètre par le nombre n dont |
la valeur approchée est 3,141. |
|
5. Soit un arc AB dont nous savons la mesure en degrés; cet |
||
arc n’est connu que si nous |
donnons également Je _ . rayon |
jdu. |
cercle sur lequel il est tracé. |
r. . , ' - T C . г. |
' |
|
2 З а ка з 219. |
[ |
..-m* i H« <[y |
|
f |
оЛдг* * r Ллк |
; читая^нО' j