Файл: Трудности перевода с французского языка (на материале математической лексики)..pdf

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35. En vertu de la loi de conservation de l’impulsion, après le choc, les impulsions des deux particules restent égales en gran­ deurs et opposées en dir'ection.

36. Là se limitent les renseignements que l’on peut obtenir sur les chocs en partant des seules lois de conservation de l’im­ pulsion et de l’énergie. Ее ce qui concerne sa direction, le vecteur n dépend de la loi d’interaction des particules et de leur position réciproque pendant le choc.

37. Les méthodes de mesure et de calcul des Egyptiens étaient cependant trop rudimentaires pour qu’ils aient pu étudier de manière précise le mouvement des astres. Ils ont dû faire pour­ tant quelquefois des observations relativement précises: nous le

savons d’après l’orientation de certains

monuments;

ainsi

les

côtés des bases de Pyramides sont

orientés Nord-Sud

et

Est-

Ouest à moins d’un demi-degré près.

un

système de solution, je

38. Désignant par 0= Oo, 0' = 0</

pose, pour abréger, ... et j’en conclus que chacune des différen­

ces

x — a et

y b devant

s’évanouir

pour

0 = 0o

et

0' =

0o',

nous

aurons

en

désignant par Ф(0) ...

des

polynômes

en

0 de

degré n — 2,

le système suivant.

 

 

 

 

 

 

39.

Pour

parvenir à une telle évaluation

on n’a

qu’à

partir

de la

relation (1) qui s’ensuit facilement

du

système

(2)

et

d’en

tirer

l’inégalité

(3) qui conduit à l’évaluation requise

pour

M.

40.

L’expérience montre que la machine ne crée pas de l’éner­

gie,

mais qu’elle

transforme

l’énergie qu’elle reçoit, ce qui

revient

à dire qu’on ne peut créer de l’énergie ni détruire une énergie existante: c’est le principe de la conservation de l’énergie qui a toujours été vérifié.

41. Quelque

petit que. soit

le nombre donné à l’avance e, on

peut prendre le

nombre r assez

grand pour vérifier l’inégalité (8).

42.Soit à répartir une masse totale égale à l’unité dans l’intervalle donné.

43.Deux droites sont dites perpendiculaires entre elles quand

un des angles qu’elles forment est droit.

44.

Pour démontrer l’égalité de

deux

triangles

quelconques,

il suffit

de montrer qu’ils satisfont

à l’un

des trois

cas d’égalité

que nous venons d’énoncer. Ayant établi que deux triangles sont égaux, on en déduit que les angles opposés aux côtés égaux sont égaux et réciproquement.

45.L’aire d’un trapèze est le demi-produit de la somme des longueurs des bases par celle de la hauteur.

46.L’aire totale d’un cylindre de révolution s’obtient en ajoutant au double de l’aire d’une base l’aire d’un rectangle dont les côtés ont pour longueur le périmètre d’une base et la hauteur

du cylindre.

47. A la suite d’observations et de raisonnements les hommes se sont peu à peu persuadés que la Terre était ronde, c’est-à-dire


que si l’on fait abstraction des irrégularités dues à son relief, sa surface était sensiblement une sphère.

48.La demi-droite est illimitée dans un sens.

49.La droite est illimitée dans les deux sens.

50.Par un point A passent autant de droites que l’on veut.

51.

Soient deux segments AB et

CD tels que AB soit inférieur

à CD.

Pour désigner un angle on

écrit (l’ordre des côtés n’im-

52.

 

 

/ ч

porte pas): angle xOy, en abrégé: xOy, ou en abrégeant encore

plus (si aucune confusion n’est à craindre) : O.

53. La longueur du cercle de rayon 4 cm est à peu près le double de la longueur du cercle de rayon 2 cm; il en est de même pour la longueur des cercles de rayon 6 cm et 3 cm. Nous pouvons nous demander si la longueur d’un cercle n’est pas pro­ portionnelle au rayon; s’il en est ainsi, elle sera aussi proportion­ nelle au diamètre.

54. Une calotte sphérique est une portion de la surface de la sphère limitée par un plan sécant. C’est une zone à une base. Une calotte sphérique limitée par un grand cercle est une hémis­ phère.

55. Pour être valables en tout temps et en tout

lieu, les

uni­

tés choisies doivent être constantes. Aussi sont-elles

définies

par

la loi d’une façon rigoureuse. Leur ensemble forme un système d’unités. Le premier système complet d’unités adopté en France

était basé sur l’unité de longueur, le

mètre, d’où son

nom:

Système métrique.

 

 

 

56. L’unité., principale de capacité

est

le litre. Le litre est le

volume occupé par une masse d’eau

pure

d’un kilogramme,

prise

à la température de 4°C, sous la pression de 760 mm. Pratique­

ment, on peut dire que le litre équivaut

au

décimètre cube.

57. Les fuseaux horaires

sont numérotés de 0 à 23 à partir de

celui dont l’axe correspond

au méridien

de

Greenwich, et en

allant vers l’est. Le numéro du fuseau indique donc l’heure qu’il est pour tous les points de ce fuseau quand il est 0'* au fuseau origine. L’Europe s’étend sur trois fuseaux. L’Europe occidentale (dont la France) prend l’heure de Greenwich (heure G. M. T.); l’Europe centrale avance d’une heure sur l’Europe occidentale; l’Europe orientale d’une heure sur l’Europe centrale.

58. Deux polygones sont dits semblables quand ils ont leurs

angles égaux et leurs côtés homologues proportionnels.

 

59.

Résoudre un triangle, c’est

calculer

la

valeur

numérique

des éléments principaux du triangle.

point, par

le

point

il

passe

60.

Etant donné un plan et un

toujours une droite perpendiculaire

au plan

et

il n’en

passe

qu’une.

Un triangle ne peut avoir qu’un angle obtus.

 

 

 

61.

 

 

 



62.Si deux triangles ont les trois côtés égaux chacun à cha­ cun, ils sont égaux.

63.Un trapèze est un quadrilatère dont deux côtés opposés

sont parallèles.

/

64.La condition nécessaire et suffisante pour qu’un quadri­ latère convexe soit inscriptible dans un cercle est que ses angles opposés soient supplémentaires.

65.Un mobile est animé d’un mouvement uniforme quand il parcourt des espaces égaux en des temps égaux.

66. Deux forces égales et directement opposées appliquées à un même point se font équilibre.

67.Le fil à plomb sert à vérifier la verticalité d'une droite ou d’un plan.

68.La pesanteur n’est qu’un cas particulier de l’attraction ou gravitation universelle découverte par Newton: «Les corps maté­ riels s’attirent entre eux en raison directe de leurs masses et en raison inverse du carré de leur distance».

69.Le point dont il est question en géométrie n’a aucune dimension.

70.

En se déplaçant, un point engendre

une

ligne.

71.

Une ligne droite est infinie dans les

deux

sens.

72.

Pour faire la somme de deux ou de

plusieurs angles, on

les rend successivement adjacents. La somme est

l’angle formé

par les côtés extrêmes.

 

le côté

73. Soit à construire un angle égal à l’angle AOB,

A'O' étant donné. De O comme centre, on trace un

arc

de cercle.

74.Jusqu’ à présent, il n’a guère été question que de la dyna­ mique du point matériel et des mouvement de translation. Il est temps de montrer l’intérêt de la dynamique des systèmes et des mouvements de rotation.

75.Le poids d’un corps étant une force, on a choisi pour me­ surer les forces une unité de poids du système métrique, ayant adopté le kilogramme comme unité principale de force.

76.Ayant adopté la représentation graphique des forces, c’est-à-dire la représentation des forces par des vecteurs, nous sommes conduits aux procédés du calcul vectoriel.

77. Il est évident que la «différence» de deux vecteurs ai et

a2, c’est-à-dire le vecteur a qu’il faut ajouter au second pour obtenir le premier, est égal à la somme du premier et d’un vec­ teur opposé au second. Elle s’obtient en donnant aux deux vec-

teurs ai et a2 la même origine, et est représentée par le vecteur A\A% qui joint l’extrémité du second à celle du premier.

78.Un produit de deux facteurs ne change pas si l’on change l’ordre des facteurs.

79.Pour multiplier un nombre quelconque par un nombre formé de l’unité suivie de zéros, il suffit d’écrire à la droite du


multiplicande autant de zéros qu’il y en a au multiplicateur. 80. Nous convenons d’appeler grandeur d’un segment d’axe

quelconque AB un nombre égal à sa longueur, affecté du signe «plus» si le sens de ce segment coïncide avec le sens positif de l’axe et du signe «moins» s’il coïncide avec le sens négatif de l’axe.

81. La grandeur d’un segment est un nombre relatif, en quoi elle se distingue de sa longueur; de toute évidence, la longueur d’un segment est le module de sa grandeur. C’est pourquoi, en accord avec les symboles adoptés en algèbre pour indiquer le module d’un nombre, nous utiliserons pour la longueur du seg­ ment AB le symbole \AB\.

82. Le système cartésien orthogonal de coordonnées est déter­ miné par le choix d’une unité linéaire pour la mesure des lon­ gueurs et de deux axes perpendiculaires entre eux et numérotés dans

un certain ordre (c’est-à-dire qu’on

a indiqué quel est celui

qui

sera considéré comme le premier).

Le point d’intersection

des

axes prend le nom d’origine des coordonnées, et les axes euxmêmes les noms d’axes des coordonnées, le premier étant égale­

ment appelé axe des abscisses, le

second axe des ordonnées.

83. Un système cartésien orthogonal

de

coordonnées étant

donné, chaque point dans le plan

de

ce

système possède un

couple bien défini et un seul de coordonnées x, y. Inversement, quels que soient deux nombres (réels) x, y, il se trouvera sur le plan un seul point bien défini, dont l’abscisse dans le système donné sera x et l’ordonnée y.

84. Comme tout tenseur symétrique de second rang, le ten­

seur d’inertie peut être ramené à une

forme

diagonale par

un

choix approprié des directions des axes

Xi, x%,

*3.

 

 

85. La

remarque que nous venons de faire

nous

amène

à

compléter

une proposition géométrique

très

élégante,

signalée

par M. Koenigs et relative aux réseaux plans conjugués dont les invariants sont égaux. Nous allons mettre en évidence une pro­ priété caractéristique des réseaux conjugués tracés sur une sur­

face quelconque, et auxquels correspond

une équation

linéaire

dont les deux invariants sont égaux.

 

 

86. D’après Lipschitz, le cas qu’étudie

Dirichlet est

celui où

le dérivé e7 de e ne contient qu’un nombre fini de points, comme

cela se

présente,

par

exemple,

pour la fonction----- j- ,

e'

ne

contient que x = 0.

 

sm

 

 

 

 

 

 

 

 

87.

Si

nous

appliquons ce

théorème après avoir

décomposé

(a, b)

en

intervalles

partiels,

b

 

Ax

est

nous trouvons que J f ( x )

a

comprise entre les sommes qui servent à définir les intégrales par défaut et par excès.